Que retenir de l’année écoulée ? Que du positif… 2017 a été une année riche pour le réseau L’ADRESSE, avec un mois de janvier dense et fort en termes d’attrait et d’acquisition pour les Français. 2018 suit-elle la même tendance?
« Le réseau L’ADRESSE, qui compte près de 300 agences dans toute la France, a bénéficié d’un peu plus de 15 % d’augmentation de volumes des ventes pour cette année », affirme Brice Cardi, Président du réseau L’ADRESSE.
En novembre/décembre 2017, L’ADRESSE se situait 3 % au-dessus en terme de volume d’unités de ventes (en comparaison avec novembre/décembre 2016).
Autre constat, un gain non négligeable en termes de délais. En effet, il faut désormais compter moins de 2 mois pour vendre son bien via le réseau (versus 3 à 5 mois il y a 3 ans). Le délai de détention d’un bien est également un signal fort en 2017 : « nous sommes passés d’un délai de détention d’un bien de 7 ans en 2007 à 10 ans en 2017, preuve étant que les Français mettent plus facilement en pratique leur projet d’achat », déclare Brice Cardi.
Selon le réseau L’ADRESSE, la composition du marché immobilier Français en 2017 peut être découpé en trois tendances majeures :
- Une zone « tendue » en Ile-de-France, au sein de laquelle Paris a dépassé le cap symbolique des 9 000 euros le mètre carré cette année.
- Les grandes agglomérations (Bordeaux, Lyon, etc.) de plus en plus attractives. (Environ 2000 € le M²).
- Presque 30% du marché restant dans les zones rurales, où nous sommes en deçà du seuil de 1 000 euros le mètre carré.
Qu’est-ce qui attend le réseau en 2018 ?
Brice CARDI partage son enthousiasme et son optimisme pour cette année car tous les voyants sont au vert ! « Je perçois un marché qui va continuer à se stabiliser, sous réserve du maintien de certains critères : les taux, la croissance économique, et l’indice de confiance des Français », avance-t-il. Autre acte fort de l’année : tous les emprunteurs vont pouvoir renégocier leur assurance de prêt, ce qui pourra représenter un gain de pouvoir d’achat pouvant aller jusqu’à 500 euros par an. C’est une nouvelle positive pour les propriétaires « car (elle) permet une économie conséquente qui peut venir compenser la problématique de « capacité d’achat » des Français », conclut Brice Cardi.