Immobilier d’entreprise : Malsch repris par deux acteurs de l’immobilier lyonnais

Créée il y a plus de 30 ans, la société Malsch est spécialisée dans la transaction et l’administration de biens (gestion locative et syndic de copropriété) en immobilier d’entreprise. Acteur reconnu à Lyon et en région Auvergne-Rhône-Alpes, l’agence compte :

• 2,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2019,
• 20 collaborateurs,
• Plus de 100 transactions réalisées en 2019, représentant plus de 60 000 m² placés en bureaux, locaux d’activités, commerciaux ou logistiques,
• Un portefeuille de 2 100 lots en syndic / gestion.

Dans le cadre de cette opération, Emmanuel Mazille dirigera l’activité de transaction (société Malsch Properties) et Thomas Vantorre les activités d’administration de biens et de syndic (sociétés Bayard et Colbert).

Accélérer le développement dans l’immobilier d’entreprise et l’administration de biens

« Nous sommes ravis de l’acquisition du cabinet Malsch. C’est une opportunité unique d’accélérer notre développement dans l’immobilier d’entreprise et l’administration de biens à Lyon et sur la région. Pour cela, nous souhaitons nous inscrire dans la continuité et rester proches de nos clients tout en leur apportant plus de valeur ajoutée, de nouveaux services et des synergies évidentes avec l’activité résidentielle de BARNES à Lyon. Ce rachat marque un premier succès dans notre stratégie de croissance externe et nous avons l’intention de poursuivre des acquisitions de régie sur le grand Lyon », explique Thomas Vantorre.

« Avec cette opération, nous affirmons clairement notre ambition de développer tous les métiers de l’immobilier d’entreprise (bureaux, locaux d’activité, commerces et investissement). Cette acquisition nous permet de mettre à profit nos expertises et notre esprit entrepreneurial pour faire de Malsch le premier cabinet indépendant à Lyon. Pour répondre à nos objectifs de développement, nous allons lancer dans les prochains mois, une stratégie de recrutement importante afin de renforcer les équipes commerciales », précise Emmanuel Mazille.