Edito
La création d’annonces n’est pas l’exercice préféré des professionnels de l’immobilier : être inspiré, détailler les mentions obligatoires tout en ciblant l’acquéreur idéal relève parfois du casse-tête (p.92). C’est pourtant une étape clé pour se démarquer et un outil de vente incontournable.
Optimiser les annonces pour ne jamais perdre de vue le client, c’est justement l’un des objectifs de Caroline Evans de Gantès, directrice générale d’Aviv France (Groupe SeLoger et Meilleurs Agents) (p.20). À l’ère du numérique et d’un immobilier éco-responsable, les annonces immobilières doivent refléter les nouveaux usages et attentes des consommateurs, tout en respectant les critères d’informations énergétiques induits par la loi Climat (p.62).
Côté diff usion, si les vitrines des agences restent le premier média des professionnels (p.74), elles doivent aujourd’hui être associées aux multiples potentiels du digital grâce à des logiciels immobiliers florissants (p.34) et des datas riches en enseignements (p.48).
Le digital toujours, ouvre aussi la voie aux Fintechs occupant de nouvelles niches (p.68), tandis qu’un choc de simplification s’opère avec la dématérialisation des formalités d’urbanisme (p.88) et des actes de cautionnement (p.90). Les outils de facilitation ne peuvent toutefois pas remplacer les fondamentaux tels que la prospection (p.66) et la fidélisation des clients qui renforcent la valeur des agences (p.44), avec comme clé de voûte, la formation (p.14).
2022 est une année d’élection et les présidents de syndicats ont fait connaître leurs attentes (p.10). Une certitude persiste : les professionnels de l’immobilier seront des tiers de confi ance précieux pour guider les particuliers dans un marché en pleine évolution (p.56).
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Au sommaire de ce numéro de mars 2022
