Edito
Renforcer le professionnalisme des métiers de l’immobilier tout en répondant aux besoins grandissants de recrutement : voici un sacré défi auquel notre secteur doit se préparer !
Loïc Cantin, nouveau président de la FNAIM, l’annonce : “l’amateurisme n’a pas sa place dans l’immobilier” (p.24).
Parmi les axes de travail ciblés dans sa feuille de route 2023 : le renforcement de la formation initiale pour les professionnels de l’immobilier.
L’exigence de formation des collaborateurs est en effet au cœur du réacteur sur le marché de l’emploi immobilier. Problème : bon nombre de recruteurs délaissent les outils phares d’attraction et de fidélisation des talents, quand ces derniers en attendent justement davantage (p.58). Une prise de conscience est donc nécessaire pour mieux appréhender les attentes d’une nouvelle génération qui a désormais l’avantage.
À ce titre, miser sur l’expérience employé (p.64) va être un atout concurrentiel déterminant.
Et alors que l’hiver s’annonce rude selon Michel Mouillart (p.32), y compris sur le marché européen (p.6), certains acteurs y voient des opportunités de développement, comme le réseau Laforêt (p.16), ou l’occasion de revisiter des solutions de financement qui pourraient bien sauver nombre de projets immobiliers (p.74).
D’autres, au contraire, y voient le moment opportun de céder leur entreprise immobilière (p.42).
Enfin, si l’on annonce de nombreux dérèglements économiques (et climatiques), nous allons devoir repenser notre confort, tant dans les conditions d’exercice de nos professions que dans nos maisons (p.40). Les agents immobiliers vont devoir maîtriser les risques (p.50) et les situations complexes qui pourraient engager leur responsabilité (p.54 et p.82).
Nul doute qu’il est temps d’avancer groupé (p.52) !
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Au sommaire de ce numéro de Décembre 2022
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