« ALUR : il faut que le Conseil national de la transaction et de la gestion puisse travailler en toute indépendance », Alain Duffoux, président du SNPI

Le SNPI se félicite que son travail d’explication auprès du cabinet de la ministre du Logement ainsi qu’auprès des élus de la majorité a permis de faire prendre conscience des effets néfastes d’un certain nombre de dispositions proposées au sein du texte d’origine, sur l’économie, l’emploi et le secteur du logement privé, permettant ainsi de revenir à un texte plus nuancé.

Tout n’est pas encore parfait bien sûr, mais nous avons su faire bouger les lignes pour offrir aux professionnels immobiliers de bonnes perspectives d’avenir face à un dispositif originel qui devait conduire au désastre.

Le SNPI va maintenant participer activement à l’élaboration des nombreux décrets qui complèteront le périmètre  de la loi. Nous allons bien entendu commencer par nous atteler, avec les autres à organisations professionnelles, à la composition du Conseil national de la transaction et de la gestion immobilières, dont les  membres de la profession seront proposés par les syndicats et qui devront être détachés des pressions diverses et variées pour se concentrer sur notre profession et les perspectives de nos métiers.

Nous formons le voeu que le Conseil puisse travailler en toute indépendance pour assurer le meilleur avenir possible aux professionnels, en tenant compte des évolutions nécessaires auxquelles le consommateur peut légitimement prétendre. ©LeFildel’Immo/BazikPress

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