Après avoir conseillé Pierre Méhaignerie, ministre de l'équipement et du logement, Henry Buzy-Cazaux a occupé des fonctions de responsabilité dans des entreprises immobilières de premier plan, FONCIA, Tagerim ou encore le Crédit Immobilier de France, mais également au sein des organisations professionnelles du secteur. Ancien délégué général de la FNAIM, il a aussi été administrateur de plusieurs autres syndicats immobiliers. Il a été chargé de mission auprès du président du Conseil de l'immobilier de l'Etat.
Il mène depuis toujours une action engagée pour la formation aux métiers de l'immobilier: président d'honneur de l'Ecole supérieure des professions immobilières, cofondateur de l'Institut des villes, du territoire et de l'immobilier du Groupe ESSEC, il est aujourd'hui président fondateur de l'Institut du Management des Services Immobiliers, centre de prospective et d'enseignement.
Il est enfin membre du conseil scientifique de l'observatoire immobilier des notaires et président du groupe "Immobilier, logement et ville durable" du Forum pour la gestion des villes et des collectivités locales et territoriales.
Crise de conscience ou d’adolescence, la révolte de la profession contre la loi Alur la conduira vers l’âge de la maturité. Une grande organisation professionnelle de l’immobilier vient de distribuer à ses adhérents un gilet, tels ceux qui sont désormais obligatoires dans tous nos véhicules, marqué « Loi Alur : professionnels immobiliers en colère ». […] 891
Avec le projet de loi Alur, synthèse de ce que les gouvernements ont essayé de faire pendant une quinzaine d’années, l’État joue son rôle : corriger et réguler. 1 943
Le moins qu’on puisse dire est que le projet de loi de Cécile Duflot, désigné désormais sous l’acronyme d’ALUR (pour l’accès au logement et un urbanisme rénové), fait parler de lui, en tout cas pour ce qui concerne agents immobiliers et administrateurs de biens. Avant même sa présentation officielle en Conseil des ministres le 25 […] 2 069
Dans notre secteur, les entreprises ont encore un comportement paradoxal : elles veulent toutes des salariés formés en milieu entrepreneurial, « prêts à l’emploi », si possible à leurs méthodes, mais pas formés chez elles ! 1 229
Le rachat des deux enseignes leaders par le holding d’investissement de François Pinault, Artémis, a mis les réseaux de mandataires sous les feux de la rampe. Très vite, le débat s’est fixé sur la formation : d’un côté les bons professionnels, formés, de l’autre ces nouveaux intervenants, choisissant le recours à des agents commerciaux, sortes […] 913
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