Après avoir conseillé Pierre Méhaignerie, ministre de l'équipement et du logement, Henry Buzy-Cazaux a occupé des fonctions de responsabilité dans des entreprises immobilières de premier plan, FONCIA, Tagerim ou encore le Crédit Immobilier de France, mais également au sein des organisations professionnelles du secteur. Ancien délégué général de la FNAIM, il a aussi été administrateur de plusieurs autres syndicats immobiliers. Il a été chargé de mission auprès du président du Conseil de l'immobilier de l'Etat.
Il mène depuis toujours une action engagée pour la formation aux métiers de l'immobilier: président d'honneur de l'Ecole supérieure des professions immobilières, cofondateur de l'Institut des villes, du territoire et de l'immobilier du Groupe ESSEC, il est aujourd'hui président fondateur de l'Institut du Management des Services Immobiliers, centre de prospective et d'enseignement.
Il est enfin membre du conseil scientifique de l'observatoire immobilier des notaires et président du groupe "Immobilier, logement et ville durable" du Forum pour la gestion des villes et des collectivités locales et territoriales.
La casse économique et sociale dans la transaction immobilière est un fléau. La prévenir pour le futur est un impératif de première importance. Tribune de Henry Buzy-Cazaux.
D’évidence, le nouveau Premier ministre de la France, Michel Barnier, a compris l’importance du logement dans la politique générale du pays. Au sommet de l’État, il semble qu’on ait décrété la fin du mépris pour le logement.
Nommé en février 2024 ministre délégué au Logement, l’ancien député Guillaume Kasbarian a fait sa première sortie officielle le 19 avril dernier à Chartres, pour inaugurer la tournée France Rénov’. S'il a annoncé vouloir "tout simplifier", il a face à lui un Everest. Tribune de Henry Buzy-Cazaux.
On assiste à un déchaînement politique contre les locations meublées de courte durée. Que le gouvernement ne se trompe pas de combat…
L’inquiétude de la profession culmine. Quelles seront les conséquences du dernier rapport de Bercy voulant déréguler la transaction ? Découvrez l'éclairage de Henry Buzy-Cazaux, président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers
La communauté immobilière a bien des pudeurs que les difficultés du moment commencent néanmoins à libérer.
Pour les professionnels de l’immobilier, le rapport de l’Autorité de la concurrence sonne comme un coup de tonnerre. Révision, voire abrogation de la loi Hoguet pour la transaction, paupérisation des agents, danger de l’intermédiation … Henry Buzy-Cazaux analyse les raisons de ce possible bouleversement et trace les perspectives pour la profession. Entre invocation de l’histoire et audace pour le futur.
Ne nous cachons pas que ce gros temps peut rappeler le cap à tenir et ramener à leur raison d’être les métiers de l’immobilier et ceux qui les exercent.
Alors que la communauté de l’immobilier veut étouffer les difficultés du marché, elle ferait bien d’avancer groupée.
Ne fermons pas les yeux sur la gravité de la situation. Reste que les circonstances sont porteuses de chances commerciales indéniables.
La loi Hoguet est dans l’univers immobilier sacrée. Sauf qu’aujourd’hui, elle accuse son âge et est menacée de toutes parts.
Pourquoi cette disposition de bon sens, valorisante pour la profession, n'est-elle pas appliquée ?
Sommes-nous passés, sans nous en apercevoir, d’une conviction environnementale incontestable à une idéologie irrationnelle ?
Recevez l'essentiel de l'actualité immobilière sélectionné par la rédaction.
Vous souhaitez consulter notre dernier magazine ou l'une de nos éditions précédentes ?
Consulter en ligne Abonnez-vous