Et bien, nous y voilà ! Tandis que vont bientôt résonner les carillons des fêtes de fin d’année, la France s’oriente vers sa 2ème Loi spéciale consécutive, donc sans loi de Finances. En soi-même, ce n’est pas une catastrophe (on se fait à tout…), mais compte tenu des enjeux qui se présente à la France, c’est un effarement total. Cependant si je m’en tiens aux seuls sujets de cet éditorial, ça ne va pas donner d’annonces incroyables. Voyons cela de suite…
Dire que la période est sereine serait un mensonge éhonté. Entre les coups de boutoir de tous les partis politiques pour créer un choc constitutionnel, et un environnement politico-économique international soumis au chaud-froid permanent des plus grandes puissances, difficile de se poser tranquillement pour construire des projets. Analyse par Bruno Rouleau, Délégué Général de la Fédération du Courtage en Crédit.
Bonne nouvelle pour les autoentrepreneurs ! Devant la levée de boucliers, l’abaissement du seuil de franchise en base de TVA, à peine adopté dans le cadre du budget 2025, a été gelé par le Gouvernement. Quel serait l'impact de cette mesure sur les mandataires immobiliers ?
Sans grande surprise, le Premier ministre, François Bayrou, a fait usage ce lundi 3 février de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter le projet de loi de finances 2025. Extension du PTZ, MaPrimeRénov', hausse des droits de mutation… Le point sur ce que contient le volet immobilier.
Ce mercredi 4 décembre, 331 députés ont voté la motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire, précipitant ainsi la chute du Gouvernement Barnier. Une mauvaise nouvelle pour le secteur de l’immobilier, alors que le marché commençait tout juste à afficher des premiers signes de reprise et que les professionnels attendaient beaucoup des mesures prévues au projet de loi de Finances pour 2025.
Après avoir annoncé l’augmentation des droits de mutation à titre onéreux (DMTO), le premier ministre, Michel Barnier, fait machine arrière en exonérant deux catégories d’acheteurs du champs de cette hausse.