La loi ALUR du le 24 mars 2014, ainstauré l’encadrement des loyers qui prévoit qu’en cas de renouvellement ou de la signature d’un nouveau bail, le loyer ne puisse excéder de 20% un loyer de référence.
Alors que les débats entre les candidats à la primaire de la gauche débutent, un constat s’impose : dans leurs programmes, le logement est aux abonnés absents.
Une récente enquête menée par la FNAIM du Grand Paris auprès des professionnels de l’immobilier confirme le fort impact de l’encadrement des loyers sur leur activité.
Renforcer les contrôles des professionnels de l'immobilier est une marque de défiance est incompréhensible. Pour François Gagnon la Ministre se trompe de combat.
Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat Durable, prend acte des résultats de l’enquête de l’association Consommation, Logement et Cadre de vie (CLCV) et va demander la saisine dans les meilleurs délais de la DGCCRF pour faire respecter l’encadrement des loyers à Paris.
5% des locataires ont peut-être eu une baisse de 5% de loyer… ! Fallait-il un bilan pour cela ? Jean-François Buet président de la FNAIM réagit au bilan anniversaire de l'encadrement des loyers établi par Emmanuelle Cosse.
Madame Emmanuelle Cosse, Ministre du Logement et de l'Habitat Durable, a donc mis fin à un long suspense en décidant d'étendre l'encadrement des loyers d'habitation de la loi ALUR.
Alors que notre pays a besoin de signaux forts en direction des investisseurs afin de faire décoller notre croissance, le gouvernement vient, une fois encore, de jeter un pavé dans la mare aux canards du logement.Cette mesure est inutile, car les loyers sont stables et cela envoie un signal psychologique négatif envers les propriétaires investisseurs. […]
Jean-François Buet, Président de la FNAIM réagit à l’annonce d’Emmanuelle Cosse d’étendre l’encadrement des loyers à plus de 400 communes de l’agglomération parisienne.
Ministre du logement, Emmanuelle Cosse, a annoncé l'extension de l’encadrement des loyers à plus de 400 communes franciliennes ainsi qu’à Lille et Grenoble. La réaction de Bernard Cadeau.