L’arrivée de Francois Hollande à la présidence n’a pas perturbé les marchés. Les taux d’intérêts déterminés par le marché obligataire sont plus bas aujourd’hui (2,6 %) qu’en début d’année (3,3 %). Les banques, qui ont une réelle volonté de prêter, devraient lâcher du lest pour rattraper leur retard de production. « Ce phénomène est principalement […]
A l’heure où le dispositif Bâle III, qui vise à renforcer les liquidités de fonds propres, modifie la politique de distribution du crédit, Jérôme Robin, président fondateur du courtier VousFinancer.com, analyse les conditions de crédit actuelles.
Malgré la crise économique et la hausse du chômage, le volume des ventes dans l’immobilier enregistré en 2011 affiche une bonne santé. Selon l’Observatoire de conjoncture des agents immobiliers et administrateurs de biens du SNPI, la progression a été de 3 % sur l’année et de 2 % sur un an au 3ème trimestre 2011.
Loi Lefebvre ; dès que nous avons eu connaissance du projet de loi qui menaçait notamment de supprimer la clause pénale pour les mandats exclusifs, nous avons initié avec Bernard Cadeau, le président d’Orpi, une réunion de tous les patrons de réseaux.
L’année 2012 ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Recul de la production de crédits, baisse des prix, chute du nombre de transactions,
autant d’indicateurs qui ne laissent pas présager un redémarrage du marché.
Les initiatives visant à aider les plus modestes à se loger se multiplient. Et contrairement aux idées reçues, les agents immobiliers et les bailleurs privés qui s’impliquent dans ces démarches s’en portent plutôt bien.
La pause constatée cet été a cédé la place à l’entrée en récession. La production de crédits diminue, la demande chute, le chômage augmente. Et ce ne sont pas les mesures gouvernementales qui relanceront le marché.
Après une reprise particulièrement vigoureuse, le scénario de la pause se profi le avec un ralentissement de la hausse des prix. Sans pour autant s’attendre à une nouvelle récession.
Malgré une forte anticipation des acheteurs en fi n d’année 2010 et la hausse des taux d’emprunt, l’activité reste soutenue. Quant au ralentissement Observé en début d’année, il ne s’agissait que d’une simple pause.
Après l’embellie des marchés de l’immobilier enregistrée en 2010, le début de 2011 a marqué le pas. Mais grâce aux effets du PTZ+ et au déblocage du marché de la revente, l’essoufflement de l’activité devrait laisser place à un rebond.
L’amélioration des conditions de crédit a fi ni par porter ses fruits : le redémarrage de l’activité est bel et bien là. Il s’est accéléré durant l’été et devrait s’amplifier en 2011, notamment porté par le nouveau PTZ+