TOUTE L'INFORMATION PRATIQUE POUR LES PROFESSIONNELS DE L'IMMOBILIER

conjoncture immobilier

Jusqu’à quand ?

Dégradation du marché de l’ancien au cours du second semestre 2011, recul brutal de la production de crédits : la récession de l’activité est bien installée. Une situation qui devrait durer au moins deux années.

Descente aux enfers ?

La pause constatée cet été a cédé la place à l’entrée en récession. La production de crédits diminue, la demande chute, le chômage augmente. Et ce ne sont pas les mesures gouvernementales qui relanceront le marché.

Un automne en demi-teinte

Après une reprise particulièrement vigoureuse, le scénario de la pause se profi le avec un ralentissement de la hausse des prix. Sans pour autant s’attendre à une nouvelle récession.

Pour une réforme des métiers de l’immobilier

La FNAIM et l'UNIS viennent de rendre public leur Livre blanc, fruit d’une large concertation menée au cours du premier semestre dans le cadre des États généraux des professions immobilières. « Nous formulons des propositions concrètes en faveur d’une évolution significative du cadre juridique pour nos professions immobilières

Entre doutes et réalité

Malgré une forte anticipation des acheteurs en fi n d’année 2010 et la hausse des taux d’emprunt, l’activité reste soutenue. Quant au ralentissement Observé en début d’année, il ne s’agissait que d’une simple pause.

2011, entre consolidation et amplification de la reprise

Après l’embellie des marchés de l’immobilier enregistrée en 2010, le début de 2011 a marqué le pas. Mais grâce aux effets du PTZ+ et au déblocage du marché de la revente, l’essoufflement de l’activité devrait laisser place à un rebond.

Cette fois, la reprise s’installe dans la durée

L’amélioration des conditions de crédit a fi ni par porter ses fruits : le redémarrage de l’activité est bel et bien là. Il s’est accéléré durant l’été et devrait s’amplifier en 2011, notamment porté par le nouveau PTZ+

Baromètre SeLoger : le rebond des prix se poursuit

Le rebond des prix observé dans de nombreuses grandes villes françaises en fin d’année se poursuit en 2010. Surtout à Caen, Dijon, Lille ou Paris, où l’on assiste même à une forte augmentation des prix, avec des hausses sur trois mois supérieures à 2 %. Une dynamique qui tranche avec l’atonie des marchés Lyonnais ou Marseillais mais surtout avec les fortes corrections à la baisse observées à Albi, Châlons-en-Champagne, Lons-le-Saunier et Perpignan. Des petites villes dans lesquelles les prix sont encore trop élevés.

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