Selon une récente enquête, la part de résidences principales classées E, qui stagnait à 21-22 % depuis l’introduction du nouveau DPE, est soudainement passée à 17,8 % début 2025, dans la foulée de l’obligation de l’audit énergétique sur les maisons à la vente. Doit-on y voir un nouveau coup porté à la crédibilité du DPE (via l’effet de seuil) ? Ou faut-il y voir une prise de conscience des propriétaires et professionnels vis-à-vis des diagnostics, permettant d’en faire un élément clé de la prise de mandat, comme nous l’enseignons à nos éco-conseillers immobiliers.
Par Julien Besnard
Alors que les prix restent élevés, les logements à rénover offrent une réelle opportunité d’investissement. Entre décote à l’achat, aides à la rénovation et valorisation du bien, la rénovation énergétique immobilière s’impose comme une stratégie patrimoniale rentable et durable.
Enfin une bonne nouvelle pour les propriétaires de résidence secondaire ! Les députés ont adopté, ce lundi 3 novembre, un amendement qui réduit de 5 ans le délai de détention nécessaire pour bénéficier d’une exonération totale sur la plus-value de cession des résidences secondaires. Explications.
Pour les professionnels de l’immobilier, les biens D, E, F et G représentent un véritable défi : moins d’appels, des acquéreurs hésitants et des travaux à prévoir. Mais ces contraintes peuvent devenir des opportunités. En valorisant le potentiel de rénovation, en accompagnant les clients sur les aides financières et en personnalisant les scénarios travaux, vous pouvez transformer un DPE défavorable en argument de vente convaincant.
Par Julien Besnard
Nouveau coup de tonnerre pour le secteur de l’immobilier. Les députés ont adopté le 21 octobre dernier deux amendements visant à rééquilibrer la fiscalité entre locations nues et meublées. Un nouveau signal négatif envoyé aux investisseurs locatifs comme aux professionnels du secteur. Décryptage.
La distinction entre logement indécent et logement inhabitable est essentielle pour les bailleurs et professionnels de l’immobilier. Focus avec Alain Cohen-Boulakia, sur la jurisprudence récente qui éclaire les enjeux liés au paiement des loyers et à l’expulsion des locataires.
Saisi par la FNAIM, l’UNIS, l’UNPI et le SNPI, le tribunal administratif de Lyon a annulé, mardi 14 octobre, l’arrêté préfectoral instaurant l’encadrement des loyers à Lyon et Villeurbanne. Pour autant, celui-ci devrait entrer de nouveau en vigueur dès le 1er novembre.
Alors que le Projet de Loi de Finances 2026 ignore une nouvelle fois le statut du bailleur privé, Orpi tire la sonnette d’alarme. La coopérative immobilière appelle les pouvoirs publics à soutenir un marché locatif fragilisé et à redonner confiance aux investisseurs, maillon essentiel de la politique du logement.
Un nouveau coup dur pour le secteur de la rénovation énergétique ! Déjà réformé en septembre dernier, le dispositif MaPrimeRénov' risque de voir une nouvelle fois ses critères d’éligibilité restreints en 2026.
Dans un marché immobilier en constante évolution, la distribution d’assurances apparaît comme une extension naturelle et stratégique de l’activité d’un agent immobilier. Que vous soyez transactionnaire, administrateur de biens ou syndic, proposer des solutions d'assurance s'inscrit dans une logique de service global désormais attendue par vos clients. Eclairage de Céline Mahinc, membre du CNTGI et Vice-Présidente d’ANACOFI-IMMO.
Par Céline Mahinc
Alors que l’expérimentation de l’encadrement des loyers doit s’achever en 2026, un rapport parlementaire présenté ce 24 septembre propose de pérenniser et d’étendre le dispositif. S’il est jugé utile par ses rapporteurs pour contenir les excès du marché, de nombreux professionnels de l’immobilier, emmenés par la FNAIM, dénoncent une mesure "inefficace et punitive".
Dans le cadre d’une préemption par la SAFER, les notifications sont strictement encadrées. La Cour de cassation assouplit le formalisme au profit du vendeur. Un point juridique très éclairant avec Aurore Gadrat, experte en droit immobilier.
Par Aurore Gadrat
La visite virtuelle s’est imposée comme un outil incontournable pour les agences immobilières. Mais cette avancée technologique soulève une question juridique essentielle : si un acheteur visite un bien virtuellement via un lien envoyé par l’agence, puis conclut la vente directement avec le vendeur sans passer par l’agent, ce dernier peut-il quand même réclamer ses honoraires ?
Par Eva Bard
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