Alors que la pierre n’a jamais autant attiré les Français et que de nouveaux profils d’investisseurs arrivent sur le marché immobilier, découvrez les dix grandes villes aux rendements locatifs les plus performants, d’après les chiffres d’une étude SeLoger.
Sur le seul mois de juillet, la hausse des prix signés des appartements anciens a été de 3.0 %. Le rythme de l’augmentation sur 3 mois reste donc soutenu (+ 3.1 %), même si depuis le début du printemps il a légèrement ralenti. D’ailleurs les prix affichés s’élèvent de 1.9 % sur 3 mois, soit moitié moins qu’en mars et avril : mais cela est fréquent au début de l’été.
Par Michel Mouillart
Avec le desserrement des conditions sanitaires, les clients passent la porte des commerçants, maintenant ainsi l’activité. La confiance des professionnels se conforte, les poussant à investir dans les bureaux et commerces à tel point que l’immobilier commercial reprend ses couleurs d’avant pandémie.
La hausse des prix des logements anciens reste soutenue, même si depuis le début du printemps elle paraît moins vive qu’en début d’année. L’analyse de Michel Mouillart, professeur d’Economie à l’Université de Paris Ouest et porte-parole du baromètre des prix immobiliers LPI-SeLoger.
Par Michel Mouillart
Il est des secteurs qui ne connaissent pas la crise… En France, c’est le cas du marché immobilier du luxe qui affiche une santé insolente malgré l’absence de la clientèle étrangère. C’est ce que démontre la dernier Baromètre de Belles Demeures réalisé en mai dernier avec OpinionWay. Tour d’horizon des principaux enseignements à retenir.
À l’issue du premier semestre 2021, la FNAIM prend le pouls du marché du logement. Il en ressort que malgré la crise sanitaire, le secteur immobilier se montre particulièrement résistant avec un volume de transactions élevé et des prix en hausse, surtout en province. Le point sur les chiffres et la conjoncture avec Jean-Marc Torrollion.
En cette période de sortie de crise sanitaire, les Français montrent toujours un intérêt grandissant pour l’immobilier. La pandémie a eu un impact significatif sur leur choix de logement et leurs projets. C’est justement ce que confirme une étude du réseau Stéphane Plaza Immobilier en partenariat avec Harris Interactive.
En dépit du renforcement de la crise économique et sociale et de la montée des risques de défaut d’une partie des emprunteurs, alors que les aides personnelles à l’accession ne peuvent plus remplir leur rôle de filet de sécurité, les banques ont choisi d’améliorer les conditions des crédits octroyés, afin de soutenir la demande de crédits immobiliers des particuliers. L'analyse du professeur d'économie Michel Mouillart.
Par Michel Mouillart
Avec la mise en œuvre du 3ème confinement, le regain de la demande constaté en mars s’est émoussé. Certes, l’activité n’a pas reculé aussi brutalement que lors des précédents confinements : une baisse des ventes de 18 % en avril 2021, contre 76 % en avril 2020, puis de 28 % en novembre. L’analyse de Michel Mouillart, professeur d’Economie à l’Université de Paris Ouest et porte-parole du baromètre des prix immobiliers LPI-SeLoger.
Par Michel Mouillart
Dans 75 % des villes de plus de 100 000 habitants, la hausse des prix des appartements anciens reste au moins égale à 5 % sur un an (61 % des villes de plus de 50 000 habitants) : elle est même d’au moins 10 % dans 28 % des grandes villes. L’analyse de Michel Mouillart, professeur d’Economie à l’Université de Paris Ouest et porte-parole du baromètre des prix immobiliers LPI-SeLoger.
Par Michel Mouillart
Nombre de transactions, constructions neuves, volumétrie et ventilation des types de logements dans les parcs privés et publics, logements vacants, évolution des prix et loyers, volumes de crédits, montant des aides… Le LABoratoire Economique du Logement publie sa note de conjoncture, permettant une radioscopie du marché en 2020, et compare le marché hexagonal à celui de nos voisins européens.
Déjà en 2020, une fois le 1er confinement passé, l‘immobilier ancien avait fait preuve d’une incroyable vitalité. Celle-ci ne s’est pas démentie au 1er trimestre 2021. Selon CENTURY 21, filiale de Nexity, le rythme des ventes s’est même accéléré, dépassant les niveaux enregistrés en 2019, année jusque-là considérée comme exceptionnelle.
Pour l’heure, rien ne vient freiner la hausse des prix constatée depuis le printemps 2019 : ni la crise sanitaire, ni deux confinements, ni leurs conséquences économiques et sociales, ni le resserrement de l’accès au crédit. L’analyse de Michel Mouillart, professeur d’Economie à l’Université de Paris Ouest et porte-parole du baromètre des prix immobiliers LPI-SeLoger.
Par Michel Mouillart
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