Les chiffres de l'Observatoire Crédit Logement / CSA pour le 2ème trimestre 2020 et le mois de juin 2020 viennent d'être publiés. Taux d'intérêts, production de crédit, taux d'apport personnel, profil des accédants à la propriété... Voici ce qu'il faut savoir pour y voir clair sur la situation immobilières.
Par Michel Mouillart
Alors que le marché du crédit immobilier est florissant, rien ne va plus entre les banques et les courtiers ! Les banques semblent vouloir « sortir du jeu » les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP) pour restaurer leurs marges, bien entamées avec la baisse des taux ! Explications …
Même si tout prête à croire que l’activité du marché de l’ancien restera très bonne en 2020, les risques qui pèsent sur le financement des acquisitions immobilières des ménages ne doivent pas être négligés. L'analyse de Michel Mouillart, professeur d’économie , FRICS.
Par Michel Mouillart
Record à la baisse des taux, records à la hausse des prix et du nombre de transactions : la dynamique du marché du logement reste excellente. Le point avec la dernière note de conjoncture immobilière de la FNAIM.
La baisse des exigences des banques en matière d’apport personnel a permis d’élargir le marché partout sur le territoire métropolitain, comme jamais auparavant. L'analyse de Michel Moiullart.
Par Michel Mouillart
Nouer un partenariat avec un courtier en crédit est un pari gagnant-gagnant, tant pour l’emprunteur que pour le professionnel.
Par Bruno Rouleau
Le 25 juin dernier, le taux de l’OAT à 10 ans a flirté avec une valeur négative (- 0.005 %). C’est la première fois depuis la création de cette série statistique, le 2 janvier 1987, que ce taux phare est passé sous le 0. Analyse et décryptage.
Par Michel Mouillart
Depuis janvier dernier, la nombre de compromis se redresse. Le rebond est modéré, mais il annonce une année 2019 qui pourrait être pleine de surprises. Pour autant, les incertitudes sont encore nombreuses et l'embellie n'est pas encore synonyme de reprise générale.
Par Michel Mouillart
D’ici quelques semaines, les banques ne pourront plus exiger la domiciliation des revenus mensuels de leurs clients emprunteurs en contrepartie d’un crédit immobilier à un taux préférentiel. Les députés en ont voulu ainsi. Ils ont adopté un amendement au projet de loi Pacte. La fin d’une ère ?
Beaucoup (faute de pouvoir observer les éléments statistiques nécessaires) ne regardent que les niveaux des taux (et quelquefois les durées), ce qui est pourtant insuffisant même s’il ne s’agit que d’apprécier la solvabilité de la demande. Dans les faits, ce qui importe plus, ce sont les conditions d’octroi des prêts : il est préférable pour le marché de bénéficier de meilleures conditions d’octroi que de taux bas !
Par Michel Mouillart
La BCE a laissé ses taux inchangés et fait comprendre que la conjoncture en Europe n’était pas propice à une remontée à court terme… Dans le même temps, les OAT 10 ans sont revenus à leur plus bas niveau depuis juillet 2018. Tout ceci devrait permettre aux banques de continuer à mener une politique de taux de crédit attractifs !
Les Cassandres s’essoufflent à sans cesse déclarer que le marché immobilier va se retourner (il le fera un jour, sans aucun doute). Ceci faisant, elles oblitèrent la réalité : jamais un 3e trimestre n’a été aussi dynamique en termes de transactions réalisées.
La hausse des prix de l’immobilier et la pénurie de biens pénalisent les primo-accédants. Une solution : allonger la durée des crédits.
Par Pascal Beuvelet
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