Chercheur CNRS au centre de recherche DRM (Dauphine Recherche en Management), ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, agrégé d’Economie et Gestion, il est titulaire d’un doctorat en Sciences de Gestion de l’Université Paris Dauphine. Auteur de différentes publications scientifiques et de l’ouvrage Marketing de l’immobilier (Dunod), il assure des cours de marketing de l’immobilier à l’Université Paris-Dauphine.
Dans un monde digitalisé où l'internaute est appelé à donner son avis, la relation client se gère sur un plan émotionnel.
La généralisation des outils connectés conduit à la remise en question des pratiques pour mieux maîtriser les cyber-risques.
À l’heure de la compétition entre métropoles, penser la ville comme une marque globale semble une révolution nécessaire.
Les « charm prices », venus des États-Unis, ont-ils le même effet dans le secteur de l’immobilier que dans le commerce ?
Ce sont l’attachement au bien du vendeur et sa dimension psychologique identitaire qui provoquent sa surévaluation.
L’afflux migratoire dans un pays a un impact moins important sur les prix que les migrations interurbaines de natifs.
L’augmentation du nombre de retraités pèse davantage sur les prix de l’immobilier que les facteurs économiques.
La perception de la valeur d’un bien par son propriétaire aurait une influence sur son niveau de consommation.
Hier réservée aux loisirs, la résidence secondaire a pris de nouvelles formes pour s’adapter au mode de vie de chacun.
Feng Shui, elfes, maisons hantées, assassinats... Pas facile de délimiter la frontière entre business et superstitions.
Acquérir une oeuvre d’art serait gouverné par les émotions alors que l’achat immobilier serait davantage guidé par la raison. Pas si simple… A l'heure de l'ouverture de la Foire Internationale d'Art Contemporain (FIAC), Fabrice Larceneux, chercheur au CNRS se penche sur les parallèles entre le marché de l'art et celui de l'immobilier.
Pourquoi n'y a t-il pas eu d'Expédia sur le marché immobilier américain ? Parce que l'immobilier n'est pas un marché comme les autres avec des produits standardisés et des achats fréquents.
Un client satisfait, c’est un client qui vous recommande à ses amis. D’où l’importance de revoir les fondamentaux du service client.La satisfaction des clients est aujourd’hui fondamentale, même dans l’immobilier où il est rare de revoir le même client. Pourtant, un client satisfait par la qualité du service rendu crée la réputation de l’agent immobilier, dans son […]
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